Rendez-vous comme d'habitude au Sommaire .
Une couleur particulière pour les panneaux NOUVEAU du jour, afin de les distinguer de ceux de l'article précédent, qui restent en place, en pensant aux ordinateurs qui ne partent pas en voyage.
Au sujet du sommaire, une abonnée d'Italie m'a suggéré qu'il envoie directement aux pages concernées. Qu'elle soit remerciée, c'est désormais le cas : chaque tête de chapitre est un lien vers le haut de la page correspondante. Il est en revanche techniquement impossible de placer un lien vers l'intérieur d'une page. Il faut donc descendre jusqu'à la nouveauté repérée dans le sommaire.
Parmi les sujets, Brassens et l'Académie. C'est l'occasion d'évoquer ici un site fort fréquenté, proposant une "analyse" des chansons de Brassens. Il apporte dans l'ensemble des informations intéressantes et justifiées. Mais il ne faut pas perdre de vue qu'il est ouvert à toute contribution : il suffit de s'inscrire pour déposer un commentaire. Parfois, ce commentaire est davantage un avis personnel de l'auteur, une expression de son "ressenti" à propos de telle chanson ou de tel couplet. A ce titre, il se justifie pleinement, comme lieu d'échange. Il serait toutefois dangereux de le considérer comme une référence : certains auteurs avancent des affirmations imprécises, voire totalement erronées, faute d'avoir procédé aux vérifications ou recoupements élémentaires. Et la courtoisie, qui est de règle sur ce site, fait que les corrections apportées éventuellement par d'autres contributeurs utilisent toujours un langage très diplomatique et sont rarement catégoriques. C'est ainsi, par exemple, que la dernière strophe de La prière serait de Brassens lui-même !
Dans notre actualité du jour, Le petit joueur de flûteau serait la "réponse poétique" de Brassens à une proposition de fauteuil d'académicien. A ceci près que la chanson a été enregistrée en 1963 et que la dite proposition, esquissée en 1964, n'a été faite "sérieusement" qu'en 1967.
Par indulgence, appelons cela une "réponse par anticipation".
Mais qu'importe. "Après tout ne te dois-je pas une chanson" dit Georges ailleurs.
Suivons la même ligne : l'occasion était toute trouvée pour ajouter aux Interprétations diverses un nouveau titre, dans la version de Frédérique Cesselin et Jérôme Lefebvre aux dernières Brassensiades.
Bon mois d'août.