27 janvier 2019
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Tous les détails ICI
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" Notre fête durera après que les lampions seront éteints "
Brassens, In Les chemins qui ne mènent pas à Rome (Ed. Le Cherche-Midi, 2008)
Des lampions ils en ont connus, Marcel Azzola et Michel Legrand, qui nous ont quittés cette semaine.
Pour que la fête continue, il faut entretenir le souvenir.
Quant à ses relations avec Brassens, rien d'autre à signaler qu'une adaptation : ICI
Pour Marcel Azzola, le célèbre accompagnement de Vesoul de Brel, est dans toutes les oreilles, ainsi que le fameux « Chauffe Marcel ! », instinctif et imprévu, que Brel a tenu à garder dans l'enregistrement (d'ailleurs pour lui, la première prise était très souvent " la bonne ", pour sa spontanéité).
Sans doute moins connue est sa contribution au patrimoine musical de Brassens. Il a pourtant fait partie de l'équipe de musiciens réunie par Moustache pour un disque où quelques grands noms du jazz interprètent Brassens.
Moustache lui en a su gré, par une mention dans le livret :
« Un super merci à Marcel Azzola qui s'est déplacé juste pour un morceau (Le vieux Léon) dans lequel son talent apporte beaucoup ».
Sinon, quoi d'autre en janvier des années en 9 ?
Brassens termine ce mois de 1959 en Belgique. Six galas à Bruxelles, un à Anvers. Demandez le programme !
À cette occasion, il rencontre Jacques Brel autour d'un plat de fruits de mer, comme le raconte Le Soir ICI.
Et juste avant vous pouvez voir le détail du programme de L'Ancienne Belgique.
La revue de Presse est d'ailleurs un bon moyen de se repérer dans l'actualité passée : faites donc une visite à l'année 1969. En janvier, il n'y a pas eu que la célèbre rencontre à trois, déjà évoquée. Dès le jour de l'an, Brassens répondait aux questions de Claude Santelli.
Plus tard il est l'invité de Michel Lancelot dans CAMPUS, sur Europe 1. C'est là qu'il répond, comme le relatent France-Soir du 17 et à nouveau Le Canard du 22, aux propos tenus en novembre 68 par Jean Cau. Vous ne connaissez pas l'histoire ? Alors juste un aperçu...
... qui méritait bien une réplique :
Le détail ICI et référence suivante.
Enfin en 1979 deux émissions de télévision à signaler dans ce mois : Numéro 1 - Alain Souchon (TF1) et
Le Grand Échiquier de Mireille, où ils interprètent en duo Quand un vicomte. Ce grand moment se trouve lui aussi dans la Vidéothèque.